🌡️ Mardi dernier, j’étais sur BFM pour parler de canicule à Paris et de ces lieux où l’on peut encore respirer un peu.
- ayodeleikuesanpari
- 11 juil.
- 2 min de lecture
Mais vous vous demandez peut-être :
Quel lien entre ma carrière d’athlète et l’écologie ?
📍 En réalité, ce lien existe depuis longtemps.
Dès mes années juniors, je découvrais la saisonnalité des fruits et légumes pour mieux manger.
Puis, à Saint-Denis, je me suis engagée aux côtés d’habitant·es pour protéger une école maternelle d’un sol pollué au nitrobenzène.
Peu de relais. Peu de soutien écolo.
Mais des citoyen·nes formidables. Et ensemble, on a évité le pire.
Quand on parle écologie et sport, on pense souvent aux stades ou aux transports.
Mais on oublie vite le volet social et humain.
🏃♀️ Quand on ne sait pas comment on va manger, l’écologie n’est pas être une priorité.
Et pourtant, c’est dans ces quartiers, ces réalités, que la crise frappe en premier.
📺 Sur BFM, le débat a vite tourné : clim ou pas clim ?
Mais la vraie question est ailleurs.
➡️ Tant qu’on minimise la crise climatique, on n’y répondra jamais avec le courage nécessaire.
🌱 L’écologie ne peut pas rester un débat entre experts.
Elle doit partir du terrain, de celles et ceux qui :
🚌 prennent le bus sous 38°C
🏭 vivent près des zones industrielles
🏠 n’ont pas de logement bien isolé
Parce qu’au fond, l’écologie, ce n’est pas juste faire du vélo à Paris.
C’est aussi :
🌍 penser à la pêche au Sénégal ou dans l’océan Indien
🌬️ parler de pollution des sols, de l’air, de l’eau
🗣️ donner la parole à celles et ceux qu’on n’entend jamais
👁️🗨️ Et si on écoutait enfin ce que dit la campagne Sorry children :
le temps presse.
Alors je pose la question :
👉 Sommes-nous prêt·es à faire de l’écologie un combat collectif, juste, et vraiment ancré dans le réel ?








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